LE PEUPLEINTRODUCTION.PagesÀ Monsieur Edgar Quinet1Ce livre sort de l'expérience de l'auteur plus que des livres2Les statistiques sont insuffisantes5Nos peintres de mœurs sont peu fidèles6La France est mieux connue que l'Europe, et jugée plus sévèrementibid.Ce peuple n'est pas celui qu'on a peint9La vie du peuple a une poésie sainte10Combien il a la vertu du sacrifice, et du sacrifice persévérantibid.Exemple tiré de ma famille11Mon enseignement21Avantages du peuple, desBarbares23Mes livres: nouveau nom de l'histoire24La situation m'a obligé de parler25PREMIÈRE PARTIE.—Du servage et de la haine.Chapitre Ier.—Servitudes du paysan29Mariage de l'homme et de la terre30Acquisition de la terre avant la Révolution32Arrêtée plusieurs fois, et encore aujourd'hui33Le paysan a fait la terre36Il en est amoureux37Il emprunte pour continuer l'acquisition de la terre39Il succombe; son irritation40L'homme des villes s'éloigne41On calomnie le paysan42Noblesse et misère du paysan français43Sa supériorité44Peut-il rester propriétaire?47Il porte envie à l'ouvrier49Chapitre II.—Servitudes de l'ouvrier dépendant des machines50Le paysan émigré dans la villeibid.Il se fait ouvrier51Note.Du machinisme.—S'étendra-t-il?54Influence démocratique de la manufacture56Avilissement de l'homme qui dépend des machines57Condition meilleure de l'ouvrier solitaire59Immoralité, presque fatale, de l'ouvrier-machine61La femme64L'enfant, comparé à celui des campagnes65Sociabilité et bonté de nos ouvriers66Notes.Des salairesibid.Chapitre III.—Servitudes de l'ouvrier68Dureté de l'apprentissage69Existence inquiète de l'ouvrier moderne70Son ménage; sa femme71Ambition de la mère; le fils devient artiste? lettré?74Souffrances de l'ouvrier lettré75Culture qu'il se donneibid.Poésies des ouvriers78Essor universel vers la lumière79Chapitre IV.—Servitudes du fabricant81Nos fabricants sont les ouvriers de 1815, ou leurs filsibid.Leurs embarras actuels84Leur dureté; velléités d'humanité85Ils ne connaissent pas bien l'ouvrier87L'industrie française étouffe89Elle lutte par l'art90Chapitre V.—Servitudes du marchand91Le marchand, tyran du fabricantibid.Le marchand est condamné au mensonge92Falsifications93Concurrence destructive95Le marchand comparé à l'ouvrier; il est obligé de plaire96Sa famille surtout compromise97Chapitre VI.—Servitudes du fonctionnaire99Mobilité de sa conduite actuelle100Faibles traitements101Le fonctionnaire est-il corrompu?102Misère de quelques fonctionnaires103Profonde misère du maître d'écoleibid.Nullité volontaire de l'employé105L'homme corrompu par la famille106Soutenu par l'honneur militaire107Vœu pour l'arméeibid.Chapitre VII.—Servitudes du riche et du bourgeois109L'ancienne bourgeoisie; la nouvelle, déjà vieille, n'a pas été rajeunie par l'industrieibid.Déclin rapide111Inertie112Frayeur de la bourgeoisie: terrorisme, communisme114Isolement du bourgeois, de l'enrichi qui s'est oublié116Dans l'isolement s'est fait le vide118Alliances de la bourgeoisie; l'allié solide, c'est le peuple119Fatigue, épuisement; le peuple renouvellera la vie et la science121Chapitre VIII.—Revue de la première partie. Introduction à la seconde123Comment chaque classe aime la Franceibid.Misères des classes supérieures124L'homme devenu très sensible125Froissé par le Machinisme127Machinisme administratif, industriel, philosophique, littéraire129Haines d'ignorance131Le mal est surtout dans le divorce des hommes d'instinct et des hommes de réflexion132DEUXIÈME PARTIE.—De l'affranchissement par l'amour.La Nature.Chapitre Ier.—L'instinct du peuple: peu étudié jusqu'ici135On n'a guère peint qu'un peuple exceptionnel136Une classe peu naturelle, dépravée; ce n'est point là le peuple137Il faut le prendre dans sa masse, dans sa profondeur139Chapitre II.—L'instinct du peuple, altéré, mais puissant142Notre recherche n'est point extérieure143Nous étudions le peuple dans son présent144—dans son passéibid.—dans ses rapports avec les autres peuples145Le nôtre est-il poétique?146Il se défie trop de lui-même147Il garde pourtant son heureux instinct149Bon sens et finesse de nos vieux paysans151Sagesse et grande expérience des vieilles femmes du peupleibid.Chapitre III.—Le peuple gagne-t-il beaucoup à sacrifier son instinct?—Classes bâtardes153Des nouveaux bourgeoisibid.Vulgarité des enrichis155Effort des Anglais pour y échapperibid.Supériorité des hommes qui ont voulu rester eux-mêmes156Chapitre IV.—Des simples.—L'enfant, interprète du peuple158Simplicité d'esprit, de cœuribid.Les sages peuvent apprendre près des enfants159L'enfant explique le peuple, l'Antiquité160Logique précoce des enfants161Caractère divin des petits enfants, des mourants162L'enfant le perd en grandissant165Il le reprendra à la mort166Chapitre V.—L'instinct naturel de l'enfant est-il pervers?167L'enfant damné à sa naissance par le Moyen-âgeibid.Fécondité, mortalité, damnation168Enseignement subtil, éducation cruelle169L'amour et l'humanité réclament170Palliatif des Limbes172Victoire de l'humanitéibid.Chapitre VI.—Digression. Instinct des animaux. Réclamation pour eux173L'animal en rapport avec l'enfantibid.L'Orient a reconnu la nature comme sœur; fécondité174La Cité grecque et romaine l'a méconnue; stérilité176Le Christ n'a pas sauvé l'animal177Le Diable vu dans les animaux178Ils sont réhabilités par l'enfant179L'Église refuse de les recevoir180L'homme les lui amène à Noël et les fait rentrer dans l'Église181La science vient de leur rendre leur place183Que l'homme reprenne l'éducation de l'animalibid.Chapitre VII.—L'instinct des simples. L'instinct du génie.—L'homme de génie est par excellence le simple, l'enfant et le peuple185Les simples n'aiment pas décomposer186Ils recomposent facilement187Ils sympathisent à la vieibid.Le génie réunit les dons de simplicité et d'analyse188Le génie est par excellence le simple, l'enfantibid.Il est peuple plus que le peuple189Chapitre VIII.—L'enfantement du génie, type de l'enfantement social192L'homme de génie est fécond, parce qu'il réunit les puissances opposées193En lui la critique ne tue point l'inspiration194L'enfantement du génie195Type de l'enfantement social, du combat et du sacrifice intérieur196L'homme de génie s'améliore par son œuvre199Il reste un des simples et les réhabilite200Chapitre IX.—Revue de la deuxième partie. Introduction à la troisième201L'instinct de l'enfant n'est pas pervers202Ni l'instinct des peuples enfants203L'Afrique aidera la France à se comprendre204Nous devons aux instincts muets une voix, une protection205L'entrée dans la Cité du droitibid.TROISIÈME PARTIE.—De l'affranchissement par l'amour.La Patrie.Chapitre Ier.—L'Amitié207La grandeamitiéou Patrieibid.L'homme naît ami de l'hommeibid.L'inégalité ne fait point obstacle à l'amitié209L'amour fait le premier du dernier210La démocratie, comme amour et initiation211Les premières amitiés212Combien précieuses, entre riche et pauvre213Ils sont nécessaires l'un à l'autre215Concurrences, enviesibid.Magnanimité des généraux de la Révolution216Chapitre II.—De l'amour et du mariage217Le mariage devint impossible dans l'empire romain218Inconvénient d'épouser une femme inférieure219Inconvénient d'épouser une femme richeibid.Bonheur du ménage pauvre220Ce qu'on perd en délaissant la fille pauvre221Utilité du mélange des races et des conditionsibid.Chapitre III.—De l'association224Associations des pêcheurs normandsibid.Associations fromagères du Jura.Notesur Fourier225Plus d'associations en France227Associations agricoles qui se dissolventibid.La France est-elle moins sociable?229La prétention à l'égalité a tué le patronageibid.Le Français a beaucoup d'individualité231Il ne se contente pas d'une société négative, coopérativeibid.Il lui faut une société d'âmes232Nulle société d'âmes sans le sacrifice233Note.Corporations.—Organisation du travail.—Communismeibid.Chapitre IV.—La Patrie. Les nationalités vont-elles disparaître?235Les provincialités disparues au profit de la nationalitéibid.La nationalité va se fortifiant236Une âme de peuple a besoin d'un corps, d'un lieu237La Patrie lui est un moyen de réaliser sa nature238Nulle âme d'homme, nulle âme de peuple ne périra240Nulle nation ne périraibid.Qu'adviendrait-il du monde si la France périssait?242Chapitre V.—La France244Danger du cosmopolitisme, danger d'imiteribid.Danger pour la France d'imiter l'Angleterre246L'Angleterre est riche247La France est pauvre, pourquoi?248Parce qu'elle a eu le génie du sacrifice249Chapitre VI.—La France, supérieure comme dogme et comme légende.—La France est une religion251La papauté de la Franceibid.Son principe plus humain, sa tradition plus suivie252La France est la fraternité vivante253Elle peut s'enseigner comme dogme et comme légende255Et fonder par l'enseignement la religion de la patrieibid.Chapitre VII.—La foi de la Révolution. Elle n'a pas gardé la foi jusqu'au bout, et n'a pas transmis son esprit par l'éducation257Écoles normales primaires, centrales. 1794258École normale259École polytechnique260L'École normale n'enseigne ni la France ni la Révolution261La Révolution non préparée dans l'éducation262Scolastique et rhétorique du terrorisme263La Convention perd la foi264Elle ne transmet pas le génie de la Révolutionibid.Notes.La France a été sauvée malgré la Terreur, non par elleibid.Chapitre VIII.—Nulle éducation sans la foi266La foi dans la patrie267Comment on peut recouvrer la foi268La jeunesse nous rendra la foi269Chapitre IX.—Dieu en la patrie. La jeune patrie de l'avenir.—Le sacrifice270La mère révèle Dieuibid.Le père révèle la patrieibid.L'école comme patrie enfant272Une première école, commune à tous, où ils sentiraient la patrie comme providence273La patrie enseignée comme dogme et légende276Elle seule doit initier au monde277La politique identique à l'éducation278Nos enfants nous rendront la force du sacrifice280Du sacrifice et du salut281NOS FILSINTRODUCTION.De la situation285Le principe nouveau: L'action286Comment ce livre a été préparéibid.Son actualité287LIVRE Ier.—De l'éducation avant la naissance.Chapitre Ier.—L'homme naît-il innocent ou coupable?—Deux éducations opposées299S'il est coupable, il faut lechâtier301S'il est innocent, il faut ledévelopper302Chapitre II.—Principe héroïque de l'éducation308Son idéal est l'héroïsme créateur309De la nourriture morale de la mère pendant la grossesse311Chapitre III.—Fluctuations religieuses.—La cloche.—Les mélancolies du passé316Chapitre IV.—Fluctuations religieuses et morales.—Naissance323Les retours, les incertitudes324Mais l'enfant, de son innocence, illumine et purifie tout329LIVRE II.—De l'éducation dans la famille.Chapitre Ier.—L'unité des parents331Cette unité, physiquement fatale, assure la vie de l'enfantibid.Prépare son unité morale333Chapitre II.—La mère.—Le paradis maternel.—L'enfant naît créateur336Elle le crée, est d'abord à elle seule son monde et son Dieu337Mais il veutêtre, créer344Chapitre III.—La famille, l'asile.—Dangers dans la famille même346Déchirement à sa première sortie de la maisonibid.Dangers intérieurs347Le gouvernement de la Grâce, les gâteries348Absorption, emportements des mères354Chapitre IV.—Le foyer ébranlé.—Grand danger de l'enfant358L'absence de l'enfant. Ennui. Mobilité. Humeur360Chapitre V.—L'enfant raffermit le foyer363La mère veut l'élever366L'enfant aura-t-il une gouvernante? un précepteur?369Le père doit relever, assurer l'autorité maternelle373Chapitre VI.—Culture supérieure de la mère.—Savoir trop pour savoir assez375Du sens littéraire délicat, appliqué à l'éducation376Des lectures propres aux femmesibid.Chapitre VII.—Le devoir384Le père est pour l'enfant une révélation de justice385Propos de la table du soir. Première lueur religieuse391LIVRE III.—Histoire de l'éducation.—Avènement de l'humanité.Chapitre Ier.—Anti-nature.—Inhumanité.—Écoles des frères395Le catéchisme et l'entorse au cerveau396L'effroi de l'enfant398Guerre à la Nature401Comment elle se venge: l'école cruelle et corrompue403Chapitre II.—L'âge humain.—Les deux types: Rabelais, Montaigne405L'éducation encyclopédique duGargantua407L'éducation non scientifique qui cultive l'homme410Chapitre III.—Le dix-septième siècle.—Coméni.—Les Jésuites.—Port-Royal.—Fénelon.—Locke413Coméni trouve l'éducation intuitive: «Les choses avant les mots»415Affaiblissement. Médiocrité. Réformes bâtardes420Le faible type de l'honnête hommeibid.Médiocrité judicieuse de Locke424Chapitre IV.—Premier essor du dix-huitième siècle.—L'action.—Voltaire. Vico. Le Robinson427Le credo simple et fort du dix-huitième siècleibid.Voltaire: Le but de l'homme est l'action (1727, 1734)429Vico: L'humanité s'est faite par sa propre action (1725)ibid.Foë (Robinson): L'homme seul se suffit, se sauve par l'actionibid.Chapitre V.—Rousseau434Le grand cours de ce siècle: optimisme et liberté435Optimisme de Voltaire, en 1734, de Rousseau, en 1756-1762ibid.L'Éducation de laJulie: laisser faire la nature436L'Éducation d'Émile, très artificielle437Défauts et grandeur de ce livre qui relance le siècle dans sa voie439Chapitre VI.—L'Évangile de Pestalozzi442Puissant effet de l'Émileen Allemagneibid.En Suisse: Pestalozzi (1775)443Son dévouement. L'éducation des pauvres et des abandonnésibid.L'école est une mère, qui nourrira l'enfant447La triple vie: Culture, Métier, École448La Suisse délivrée en 98. Le miracle de Pestalozzi à Stanz451Son institut de Berthoud, 1801; on déclare qu'il a découvertla loi de l'éducation452La réaction. Il passe dans la Suisse française; Yverdon (1803)453Méthode intuitive. Peu de livres. Point de Bible455Fécondité admirable: Ritter, Frœbel, Fellenberg, Girard, etc.456La réaction. La ruine, le martyre de Pestalozzi (1808-1827)458Chapitre VII.—L'Évangile de Frœbel461Lui seul a vu le brouillard, le chaos d'où part l'enfant462L'éducation est un secours qui lui débrouille, ordonne ce chaos464L'enfant veut s'approprier ce monde, en agissant et créantibid.Frœbel sut rester enfant. Génie primitif et fécond du forestier, du mineur allemand466L'enfant naît géomètre, constructeur et jardinier467Plus d'imitation, de parlageibid.Méthodes très différentes de Fourier, de Jacotot469MmeMarenholz, l'apôtre de Frœbelibid.Comment la réaction travaille contre Frœbel471Ma visite aux écoles de Lausanne et de Genèveibid.LIVRE IV.Chapitre Ier.—L'Université.—Son autorité morale475Excellence de son personnel476Elle enseigne généralement le vrai principe moderne,—les langues et l'histoire des peuples libres, harmoniques à ce principe478Discordance de l'Église qui enseigne les Païens481L'Université est timide, non servile; elle ne suit point l'État dans ses fluctuations excentriques et violentes483L'effet de cette éducation; son beau nomHumanités485Chapitre II.—Réformes de l'Université488De ses divers enseignements, créés la plupart récemment, elle doit faire un tout organique489Enseigner davantage par masses simples et grands ensembles491Indiquer le grand courant historique et linguistique, qui nous rattache aux origines et fait l'unité humaine dans l'espace et dans le temps492Recomposer l'homme complet, ne pas oublier l'homme physique, le besoin d'air, de mouvement493Faire des classes moins nombreuses, en multipliant les jeunes maîtres. Excellence desmoniteurshollandaisibid.Mettre en rapport le collège et l'école industrielle496Chapitre III.—École industrielle497L'industrie a créé un nouveau peupleibid.Flexibilité du génie français. École centrale499Écoles d'Angers, de Châlons; ce qui leur manque501La tentative immense de 1865 pour faire prédominer l'enseignement industriel, subordonner l'enseignement classique503Efforts impuissants du dernier ministre504Chapitre IV.—École d'Agriculture508Opinions de MM. Riondet et Doniol sur son organisationibid.C'est l'école de création qui doit précéder toute autre509La France est le grand théâtre agricole511Puissance et habileté d'un agriculteur du Midi512Chapitre V.—Écoles de Médecine et de Droit516Comment on forme le jeune homme en le jetant dans le drame des études de la mort et de la vie518Du désaccord singulier des écoles de Médecine et de Droit520Il faut un enseignement intermédiaire, qui montre comment le monde de la Nature prépare le monde de la Loi522Chapitre VI.—L'Étudiant en Droit525La France, au seizième siècle, a été le pape du Droit, en montrant mieux qu'aujourd'hui le rapport du Droit aux mœurs et à l'état social526Ne faudrait-il pas deux écoles, l'une pour tous, l'autre pour lespraticiens?528L'étudiant tourne dans un cercle d'habitudes fort limité, et s'ennuie de l'étude, parce que sous la loi il ne voit pas la vieibid.Terrible instruction que doit donner Paris530LIVRE V.—L'éducation continue toute la vie. De quelques questions d'avenir.Chapitre Ier.—Le progrès du métier535La vie, bien administrée, diminue moins qu'elle n'augmente537Tout métier a un art en lui et développe souvent en nous des aptitudes supérieures539Progrès des grands artistes (Rembrandt, etc.) qui n'ont atteint le sommet qu'au dernier âge540Chapitre II.—«Mon livre»542On n'avait autrefois qu'un livre, et, le lisant toujours, on songeait, inventaitibid.Réimpressions de Voltaire (1820)ibid.Livres socialistes, depuis 1830544Combien il est difficile de faire un livre populaire545Chapitre III.—La vie publique.—L'autorité morale.—La magistrature spontanée548Chaque peuple, chaque patrie, est une éducationibid.L'éducation civique et pratique de l'Américain549De l'échelle de la vie publique. L'école, la commune sont ses premiers degrés (Turgot)550Utilité éducative de la vie communaleibid.Les luttes de la commune, bien plus serrées, exigent un caractère très fortibid.Qui résiste (au besoin) aux amis et à la famille?552Comment cet homme aura l'autorité morale, utile à tous, comment il élève à lui sa famille même554Il prépare et il groupe l'association locale556Note.Influences locales du cultivateur estimé, du médecin, pharmacien, etc., pour élever l'esprit du pays558Chapitre IV.—Avenir.—Littérature nouvelle.—Libres écoles560Je ne veux rien prévoir que ce qui peut se faire demain, ce qui dépend de notre activitéibid.À la littérature anti-sociale une autre succédera (de civisme et de vérité)561C'est l'école des hommes, sans laquelle l'école de l'enfant ne prendra pas sa vie nouvelle562Notes sur les lectures de prison, d'hôpital563Il faut vivifier, soutenir, régénérer le maître565Le prêtre estmonarchie, le maître estrépubliqueibid.Comment son existence, trop monotone, reprendra le mouvement, le progrès566Peut-on enseigner toujours?567Tous, à certains moments, pourraient et devraient enseigneribid.Les volontaires de l'enseignement.—Combien on peut tirer parti de la jeunesse568Chapitre V.—De l'école comme propagande civique et comme échelle sociale570Les écoles libres répondront à mille exigences variéesibid.Variété cependant harmonique, que la Patrie, la France ralliera dans un même esprit571L'école non aidée par l'État dépend d'autant plus des parents, des influences locales, aristocraties communales, etc.573Il faut s'entendre et se grouper pour soutenir le maître qu'elles domineraientibid.Soutenir l'élève méritant, et le faire arriver à l'école départementale, à l'École centrale574Créer l'échelle de justice où tous pourraient monter du plus bas au plus haut577Chapitre VI.—De l'éducation par les fêtes578Le monde changera-t-il autant qu'on le croit?579Les grands organes éducatifs qui ont fait nos progrès (propriété, art, religion, etc.), peuvent-ils disparaître?ibid.La religion ne finit pas; elle commence581La tristesse du monde, entre les fêtes mortes et les fêtes vivantes qui vont venir583La vie grecque, si agitée, n'en fut pas moins une fête continue, graduée, puissamment éducative584Comment fait-on des fêtes? Cela naît, et ne se fait pas.—Dans la vie libre, elles naîtront, comme un retour de la nature585Combien le peuple de Paris est sensible aux fêtes des morts586Les fêtes de la Fédération de 91587Notre fête du 4 mars 1848.—Ce qu'elle aurait pu deveniribid.
LE PEUPLEINTRODUCTION.
PREMIÈRE PARTIE.—Du servage et de la haine.
DEUXIÈME PARTIE.—De l'affranchissement par l'amour.La Nature.
TROISIÈME PARTIE.—De l'affranchissement par l'amour.La Patrie.
NOS FILS
INTRODUCTION.
LIVRE Ier.—De l'éducation avant la naissance.
LIVRE II.—De l'éducation dans la famille.
LIVRE III.—Histoire de l'éducation.—Avènement de l'humanité.
LIVRE IV.
LIVRE V.—L'éducation continue toute la vie. De quelques questions d'avenir.