Chapter 24

NOTES:[1]Date donnée par le Dictionnaire de La Chesnaye-Desbois.[2]Son père avait obtenu très difficilement, de Louis XV, de lui céder, en le mariant, le duché d’Agénois.[3]Revue hebdomadairedu 27 avril 1901. Une idylle sous la Régence.[4]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon(3ᵉ édition, 1792), p. 173.L’exemplaire que nous avons consulté est catalogué à la Bibliothèque de la ville de Paris sous le nº 10469. Il est accompagné de notes autographes de M. de Monmerqué reproduisant des annotations inédites de Soulavie.[5]Soulavie.Mémoires historiques et politiques du règne de Louis XVI(Paris, 1801, 6 vol.), t. I, pp. 69-70.[6]Voir Appendice nº I.[7]Chanteloup, hameau de l’arrondissement d’Amboise (Indre-et-Loire).[8]Pontchartrain, canton de Chevreuse (Seine-et-Oise).[9]Le chevalier avait encore demeuré rue de l’Université. Mais il restait rarement à Paris, soit que le devoir militaire le retînt en province, soit qu’il partît en villégiature: «Je ne connais pas, M. le Chevalier, lui écrit la duchesse, un être plus errant que vous.»[10]Archives nationales, T 243.[11]Saint-Simon donne de curieux détails, dans sesMémoires, sur la vie peu édifiante de cette grande dame; et leJournalde Barbier (t. III, p. 384) en signale simplement la mort en ces termes: «Mᵐᵉ la duchesse de Mazarin, dame d’atours de la reine, est morte, en huit jours de temps, le 11 du mois de septembre 1742, âgée de cinquante-cinq ans.»[12]AN.T. 243.[13]Il n’est pas inutile de rappeler, à cet égard, la lettre (inédite) qu’écrivait à ce même Quélen le comte de Plélo, le 30 janvier 1729, un mois avant son départ pour Copenhague:«Nous laissons nos enfants ici, mon fils encore quelques mois et ma fille quelques années; le premier viendra me joindre cet été. A l’égard de ma fille, elle restera au couvent jusqu’à six ou sept ans; et alors je la ferai venir auprès de moi, si Dieu me la conserve jusque-là.»Cette fille, c’était Louise-Félicité, qui avait alors trois ans. Conformément aux intentions du père, elle fut mise au couvent de la rue Bellechasse, la célèbre abbaye de Panthémont où sa mère avait fait son éducation. Louise-Félicité avait pour gouvernante Mᵐᵉ de Montigny, à qui Mᵐᵉ de Plélo avait légué 200 livres de rente viagère et qui resta près d’un an à l’abbaye de Panthémont avec son élève.[14]Mémoires du duc de Luynes, t. III, pp. 105-106.[15]Quoique très bien fait, il était de petite taille: aussi, plus tard, à propos des affaires de Bretagne, ses adversaires le désignaient-ils ironiquement sous le nom dePetit duc.[16]Edmond et Jules de Goncourt.La duchesse de Châteauroux et ses sœurs(Paris, 1879).[17]Revue hebdomadairedu 27 avril 1901. Le comte de Plélo était fort épris de sa femme; et sa correspondance dit assez quelles furent sa tendresse et sa fidélité.[18]Mémoires du Mⁱˢ d’Argenson(t. IV, p. 44).—Mémoires de RichelieuparSoulavie, t. VI. A tort, les Goncourt appellent d’Agénois le neveu de Richelieu. C’était Mᵐᵉ de Châteauroux qui lui donnait ce nom et traitait de «cher oncle» le duc de Richelieu.[19]Les Goncourt.Mᵐᵉ de Châteauroux(Collection Leber, 5815, Lettres Mss. à la Bibl. de Rouen). Mᵐᵉ de Châteauroux avait une haine féroce contre Maurepas: elle écrivait, le 3 juin 1744, à Richelieu que Maurepas «avait fait le tourment de sa vie».[20]Soulavie.Anecdotes de la Cour de France, 1802, p. 24.[21]Mémoires du duc de Luynes, t. IV. p. 269.[22]Maurepas.Mémoires, t. IV, p. 114-115. Ils sont de Soulavie (voir appendice nº 1).[23]Duc de Luynes.Mémoires, t. IV, septembre 1742, p. 240. Mᵐᵉ de Mazarin était morte le 10.[24]Duc de Luynes.Mémoires, t. V, octobre 1743, p. 22.[25]AN.T. 243.[26]Archives du marquis de Chabrillan. Lettre de 1747.[27]Archives du marquis de Chabrillan.[28]Mémoires du duc de Luynes, t. VII, mars 1746.[29]Déjà lesMémoiresde Luynes, annonçant, en avril 1736, la mort du dernier des fils de Plélo, parlaient d’une «fille de huit à dix ans qui n’avait pas une bonne santé»: c’était Louise-Félicité.[30]LesNouvelles à la mainpubliées, d’après les manuscrits Anisson Duperron, par M. le vicomte de Grouchy dans leCarnet historiquede 1898 (t. II, p. 683) donnent, à la date du 4 février 1764, une anecdote sur les couches de Mᵐᵉ d’Aiguillon, la représentant comme un véritable phénomène: «Elle est très bien de figure, elle a la peau assez blanche; dans sa première grossesse, elle devint, par degrés, noire comme une négresse du Sénégal de la tête aux pieds. Après être accouchée, elle reprit aussi par degrés son teint ordinaire. Elle est grosse pour la deuxième fois et la même révolution se fait chez elle. Elle n’est encore que mulâtresse parce qu’elle n’est pas avancée; dans ses derniers mois, elle sera noire comme du jais. Au reste, l’enfant qu’elle a mis au monde la première fois n’avait aucune teinte de noir; il était comme l’enfant d’un blanc...» Mᵐᵉ d’Aiguillon accoucha, en effet, en 1764, d’un enfant qui vint avant terme. Mais nous n’avons vu nulle part, excepté dans un autre recueil deNouvelles à la main, que Mᵐᵉ d’Aiguillon ait présenté, pendant ses couches, les variations de couleur dont parle le gazetier. Elle était sujette aux coliques néphrétiques: peut-être eut-elle, comme son mari, des jaunisses. Elle en parle, mais jamais du phénomène physiologique cité par lesNouvelles à la main. D’ailleurs, sa deuxième grossesse datait de 1747 et non de 1764.[31]D’Aiguillon n’était encore qu’en très mince faveur à la Cour: le Roi se souvenait-il toujours des hésitations de la marquise de la Tournelle? En tout cas d’après leJournal de Croÿ(t. I, p. 150) d’Aiguillon n’était admis à Choisy qu’à titre «d’externe» ou de «polisson».[32]Cette guerre, si désastreuse pour la France, commença en 1756 et finit en 1763 par le traité de Paris qui nous enleva le Canada, «ces quelques arpents de neige», disait Voltaire.[33]Village et baie dans le département des Côtes-du-Nord.[34]Première lettre d’une correspondance autographe adressée par Mᵐᵉ de Pompadour au duc d’Aiguillon et conservée auBritish Museum(fonds Egerton). Cette correspondance fut publiée pour la première fois en 1856-1857 (t. I, pp. 244 et suiv.), dans laCorrespondance littérairede Ludovic Lalanne et comprend une période de cinq années (1758-1762).[35]«M. d’Aiguillon, dit Linguet (Aiguillonana, 1777, p. 9) avait toujours eu un ascendant marqué sur les maîtresses du feu roi. La marquise de Pompadour l’avait protégé hautement: la trop prompte mort du maréchal de Belle-Isle l’avait seule empêché de le lui donner pour successeur (au ministère de la Guerre).»[36]EdmondetJules de Goncourt.Mᵐᵉ de Pompadour(1878, Paris), p. 147, d’après lesSouvenirsde Mᵐᵉ du Hausset.[37]Lettre du 6 février 1759,Correspondancede Lalanne, t. I, p. 246.[38]Journal de Croÿ(du duc) édité par le vicomte de Grouchy et Paul Cottin (1906, 4 vol.), juillet 1759, pp. 476 et suiv.—LeJournal de Barbier(t. VII, p. 210) parle d’un imprimé, répandu dans Paris en décembre 1759, qui énumère les préparatifs du débarquement.—Bertin avait remplacé Silhouette le 24 novembre 1759 (Barbier, VIII, 119).[39]Lettre de 1760.—Quel livre à écrire sur les politiciennes![40]Lettre du 10 septembre 1760: il est vrai que, le 14, elle le complimentait d’avoir obtenu du «zèle des Bretons» un don gratuit de 700.000 livres pour le Roi.[41]Lettre du 26 décembre.[42]Lettre de Tourny à la duchesse d’Aiguillon, du 24 avril 1751 (d’aprèsMarcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, Paris, 1898).[43]Lauzun.Documents inédits relatifs à l’entrée du duc d’Aiguillon à Agen, 1885.[44]Lettre du 26 août 1761.[45]Déjà, le 7 décembre 1754, le duc de Luynes écrit dans sesMémoires: «On continue à donner à M. le duc d’Aiguillon toutes les louanges que méritent son esprit, sa politesse, son application aux affaires... Mᵐᵉ la duchesse d’Aiguillon a aussi très bien réussi en ce pays: il paraît que l’on est fort content de l’un et de l’autre.»[46]Journal de Croÿ, t. II, p. 12.[47]Carné.Etats de Bretagne, t. II.—Cet historien a dû à l’obligeance de M. le marquis de Chabrillan, possesseur des papiers du duc d’Aiguillon, de pouvoir consulter le «Journal du Commandement de Bretagne».[48]Journal de Croÿ, t. II, p. 48.—Ce même journal signale, également en 1763, le bruit qui s’était répandu que d’Aiguillon aurait le commandement de l’Alsace; et il l’eut nominalement.[49]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon(Paris, 1898), p. 189.[50]Jobez.Histoire de Louis XV, t. VI (Paris, 1864-1870, 6 vol.).[51]Jobez.Histoire de Louis XV, t. VI. Les hostilités s’ouvrirent le 1ᵉʳ octobre 1764, entre La Chalotais et d’Aiguillon, sur le refus de celui-ci d’accepter le fils comme successeur du père.[52]Mémoires secretsditsde Bachaumont, 15 octobre 1764.—M. Pocquet(Le Pouvoir absolu et l’esprit provincial. Le duc d’Aiguillon et La Chalotais, 3 vol., 1900-1902) affirme que La Chalotais ne fut pas l’auteur de l’épigramme.[53]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 5.—M. Marcel Marion adopte la version de Soulavie.[54]Soulavie affirme encore que la marquise devint la maîtresse de Choiseul.[55]Bibl. Nat. Impr.Ln²⁷ 41577.H. Carré.La Chalotais et d’Aiguillon(Paris, 1893),d’après la Correspondance du chevalier de Fontette avec de la Noue: «un forcené républicain» dit Fontette de Kerguézec.[56]Soulavie.Mém. du min. du duc d’Aiguillon, pp. 176 et suiv.[57]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, p. 348.[58]Marcel Marion.Id., p. 361. Lettre de M. de Robien à M. de Coniac (partisan d’Aiguillon), 3 décembre 1765.[59]Mémoires du minist. du duc d’Aiguillon, p. 178.[60]Journal de Croÿ, t. II, p. 192.[61]Arrivé de Lille en 1771, cet artiste avait été accueilli avec distinction par les châtelains de Veretz.[62]Un dessin de Gaignières nous a cependant conservé le croquis du château de Veretz en 1699.[63]Bibl. Arsenal Mss. 10016 (Arch. Bastille). Rapport du policier Le Clerc au lieutenant général de police, 20 août (?) «Etant à Tours, je fus à Veretz, château situé sur le Cher. S. A. S. Mᵐᵉ la P(rincesse) de C(onti), deuxième douairière, y était. Par respect, je n’oserai dire ce que les habitants du pays disent de cette P(rincesse)» et du d(uc) d’Aiguillon.»[64]Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. X, pp. 247 et suiv. (1895-1896). Bibliothèque de Tours, Mss. 963.[65]Nous signalons une très complèteHistoire du château de Veretz et de ses environs, par l’abbéBossebœuf(Tours, 1903, in-4º), histoire dont certains documents, inédits, appartiennent à l’époque révolutionnaire. Nous en donnons plus loin les intitulés.[66]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 32.[67]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, p. 417.[68]Moreau.Mes Souvenirs, t. II, pp. 54 et suiv.[69]«Mais voilà de l’écriture de M. de La Chalotais!» s’était écrié Calonne, quand Saint-Florentin lui avait présenté les lettres anonymes (Mém. du ministère d’Aiguillon, pp. 5 et suiv.). Honnête prétexte! Le véritable motif des poursuites, c’était l’assistance que La Chalotais, agent du roi, prêtait aux revendications du Parlement de Bretagne.[70]Sa première prison fut le château du Taureau près de Morlaix. Ce fut à Saint-Malo qu’il écrivit, les 15 janvier et 17 février 1766, ses deux premiersMémoires. Ceux de Brissot (Paris, 1830, t. I, p. 158) nous édifient sur la métaphore quelque peu prudhommesque de Voltaire: «L’histoire de ces pages écrites avec de la suie, au fond d’un cachot, sur des enveloppes de pain de sucre, m’avait toujours paru bien romanesque. Mᵐᵉ Lem (attachée au Parlement et qui avait beaucoup vécu chez M. de La Chalotais) m’a révélé que c’était elle qui avait fait passer à La Chalotais, dans le château du Taureau, ce fameuxMémoire, qu’il a prétendu avoir composé et écrit avec un cure-dents.»[71]Mém. du minist. d’Aiguillon, p. 347.[72]Lemoy.Le Parlement de Bretagne et le pouvoir royal au XVIIIᵉ siècle.Angers, 1909, p. 382.[73]Mém. du minist. d’Aiguillon, p. 14.[74]LeJournal de Hardy(Bibl. Nat. Mss. franç. 6680) en donne le 18 novembre une description terrifiante.[75]Lenoir, conseiller d’Etat, rapporteur de la Chambre de Saint-Malo.[76]Mémoires du ministère d’Aiguillon, p. 16.[77]M. Carré établit, dans les premières pages de son livre, que La Chalotais, toujours irascible et toujours violent, était plutôt le persécuteur de Fontette, commandant du château de Saint-Malo.[78]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 20.[79]Vatel.Madame Du Barry(Paris, 1883, 3 vol.), t. I, p. 385.[80]AN. H. 439. M. Carré dit, avec raison (pp. 57 et suiv.) et sans arrière-pensée de réhabilitation, qu’on s’est trop habitué à juger les affaires de Bretagne et la conduite de d’Aiguillon d’après les pamphlets contemporains, et que la vérité, comme la justification du prétendu coupable, apparaît mieux dans les papiers du Contrôle général et dans lesBulletins de Bretagneadressés à cet égard à Laverdy par le Commandant de Bretagne.[81]AN. O¹ 462.[82]Journal du Prince de Croÿ, t. II, p. 454.[83]H. Carré.La Chalotais et d’Aiguillon, p. 65.[84]H. Carré.La Chalotais et d’Aiguillon.Lettre de La Noue (à Veretz), à Fontette, 25 septembre 1766.[85]Belleval.Souvenirs d’un chevau-léger(Paris, 1866), p. 103.[86]Carré.La Chalotais et d’Aiguillon. Lettre de La Noue à Fontette(Paris, 23 décembre et 23 février 1767).[87]Dans sa thèse de doctorat,Le Parlement de Bretagne et le pouvoir royal au XVIIIᵉ siècle. M. Le Moy donne (pp. 64 et suiv.) un croquis intéressant de laSociété parlementaire, pendant le principat de d’Aiguillon, d’après les livres autorisés de MM. Carré, Pocquet, Marcel Marion, Baudry et les papiers d’archives du temps.[88]Revue de Bretagne et de Vendée, 1894. Article de Calan:Chute du duc d’Aiguillon.[89]H. Carré.La Chalotais, etc. Lettres des 7 et 12 mars 1767, de Fontette à La Noue.[90]H. Carré.La Chalotais, etc., pp. 79 et suiv. Louis XV pratiquait le même système avec son ministre des Affaires étrangères. (Voir:Le duc de Broglie.Le secret du roi.)[91]Archives d’Ille-et-Vilaine, C. 1780.[92]Archives nationales.Dossier Balleroy, T. 243.[93]H. Carré.La Chalotais, etc... Lettre du 2 juin, de Fontette à La Noue.[94]Archiv. Nation.Dossier Balleroy, T 243.[95]H. Carré.La Chalotais, etc., pp. 79-84.[96]AN.T 243. Papiers Balleroy.[97]«Ce n’est qu’un petit brigand qui veut jouer au personnage» dit Fontette; jusqu’alors il avait été un des plus chauds partisans du gouverneur.[98]H. Carré.La Chalotais, etc., p. 84.[99]Revue de Bretagne et de Vendée, 1894. Article Calan sur la chute du duc d’Aiguillon.[100]H. Carré.La Chalotais, etc., p. 524.[101]Revue de Bretagne, etc.Article Calan.[102]Mém. d’Aiguillon(du ministère).[103]Correspondance Du Deffand(édit. Sainte-Aulaire), t. I, p. 162. Lettre de Mᵐᵉ Du Deffand à l’abbé Barthélemy.[104]H. Carré.La Chalotais, etc., pp. 93 et suiv.[105]AN.T 243.[106]Bulletin du bibliophile.Année 1882, p. 119. Publication (p. 104, p. 125) par M. Edouard de Barthélemy d’un choix de lettres acquises dans la vente d’une correspondance adressée au chevalier de Balleroy: celle-ci avait dû échapper aux perquisitions révolutionnaires ou disparaître desArchives nationales.[107]H. Carré.La Chalotais, etc.Lettre du 3 février 1768.[108]AN.T 243. Lettre du 24 juin.[109]AN.T 243. Lettre du 10 juillet.—«La Reine, victime de M. le duc de Choiseul» (note Soulavie).[110]AN.T 243. Lettre du 16 août 1768.[111]Le mot est rapporté par laCorrespondance de Grimm(Edit. M. Tourneux), t. VIII, p. 184.[112]AN.T 243.[113]M. de Broc, lieutenant général, était un des vainqueurs de Saint-Cast.[114]Un mémoire pour la tenue des Etats de 1766-1767 (Archives d’Ille-et-Vilaine, C. 1780) réglait ainsi la situation respective des ducs de Penthièvre et d’Aiguillon: Celui-ci était désigné «pair de France, chevalier des ordres du roi,Gouverneur d’Alsace, lieutenant général, commandant en chef de Bretagne. Il réside dans la province, en l’absence du duc de Penthièvre, le gouverneur. Placé à la tête de l’ordre militaire, il est le premier et principal commissaire du Roi aux Etats».[115]AN.T 243. Lettre du 27 août 1768.[116]Mémoires secrets de Bachaumont, 26 septembre 1768. Lettre du 29 août. Nous n’avons trouvé nulle part de trace de cette demoiselle de Vedec.[117]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, p. 574.[118]LesRemarques(renvoi à la page 27 desMém. du minist. d’Aiguillon) disent que le duc n’avait pas plus pensé au ministère que le Dauphin n’y avait pensé pour lui.[119]Journal de Barbier, t. VI, p. 446.[120]De la Rocheterie.Marie-Antoinette(1905), t. I, p. 302.[121]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 35.[122]Mémoires du ministère d’Aiguillon, p. 41.—Mémoires du duc de Choiseul(attribués à Soulavie), 1790, t. I, pp. 244 et suiv.[123]Sénac de Meilhan.Le gouvernement, les mœurs, etc.Portraits des personnages les plus distingués du XVIIIᵉ siècle(édition Lescure), p. 338. «S’il voulait se rapprocher d’elle, elle ferait la moitié du chemin...»[124]Ce premier commis des finances, chassé en 1768 par Choiseul pour avoir poussé le contrôleur général Laverdy à entraver la marche du tout-puissant ministre, avait été remis en place par Terray en 1769. Cromot, par esprit de vengeance, laissait entrevoir au prince de Condé, qui, seul des princes du sang, soutenait le gouvernement contre les parlementaires, la possibilité de supplanter Choiseul.[125]Biblioth. Nat. Mss.Journal de Hardy, 6680, t. I, p. 143, 15 janvier 1769.—Belleval.Souvenirs, p. 118.[126]Claude Saint-André.Madame Du Barry(Paris, 1909), p. 82.[127]Brissot.Mémoires, t. I, p. 268.

NOTES:

[1]Date donnée par le Dictionnaire de La Chesnaye-Desbois.

[1]Date donnée par le Dictionnaire de La Chesnaye-Desbois.

[2]Son père avait obtenu très difficilement, de Louis XV, de lui céder, en le mariant, le duché d’Agénois.

[2]Son père avait obtenu très difficilement, de Louis XV, de lui céder, en le mariant, le duché d’Agénois.

[3]Revue hebdomadairedu 27 avril 1901. Une idylle sous la Régence.

[3]Revue hebdomadairedu 27 avril 1901. Une idylle sous la Régence.

[4]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon(3ᵉ édition, 1792), p. 173.L’exemplaire que nous avons consulté est catalogué à la Bibliothèque de la ville de Paris sous le nº 10469. Il est accompagné de notes autographes de M. de Monmerqué reproduisant des annotations inédites de Soulavie.

[4]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon(3ᵉ édition, 1792), p. 173.

L’exemplaire que nous avons consulté est catalogué à la Bibliothèque de la ville de Paris sous le nº 10469. Il est accompagné de notes autographes de M. de Monmerqué reproduisant des annotations inédites de Soulavie.

[5]Soulavie.Mémoires historiques et politiques du règne de Louis XVI(Paris, 1801, 6 vol.), t. I, pp. 69-70.

[5]Soulavie.Mémoires historiques et politiques du règne de Louis XVI(Paris, 1801, 6 vol.), t. I, pp. 69-70.

[6]Voir Appendice nº I.

[6]Voir Appendice nº I.

[7]Chanteloup, hameau de l’arrondissement d’Amboise (Indre-et-Loire).

[7]Chanteloup, hameau de l’arrondissement d’Amboise (Indre-et-Loire).

[8]Pontchartrain, canton de Chevreuse (Seine-et-Oise).

[8]Pontchartrain, canton de Chevreuse (Seine-et-Oise).

[9]Le chevalier avait encore demeuré rue de l’Université. Mais il restait rarement à Paris, soit que le devoir militaire le retînt en province, soit qu’il partît en villégiature: «Je ne connais pas, M. le Chevalier, lui écrit la duchesse, un être plus errant que vous.»

[9]Le chevalier avait encore demeuré rue de l’Université. Mais il restait rarement à Paris, soit que le devoir militaire le retînt en province, soit qu’il partît en villégiature: «Je ne connais pas, M. le Chevalier, lui écrit la duchesse, un être plus errant que vous.»

[10]Archives nationales, T 243.

[10]Archives nationales, T 243.

[11]Saint-Simon donne de curieux détails, dans sesMémoires, sur la vie peu édifiante de cette grande dame; et leJournalde Barbier (t. III, p. 384) en signale simplement la mort en ces termes: «Mᵐᵉ la duchesse de Mazarin, dame d’atours de la reine, est morte, en huit jours de temps, le 11 du mois de septembre 1742, âgée de cinquante-cinq ans.»

[11]Saint-Simon donne de curieux détails, dans sesMémoires, sur la vie peu édifiante de cette grande dame; et leJournalde Barbier (t. III, p. 384) en signale simplement la mort en ces termes: «Mᵐᵉ la duchesse de Mazarin, dame d’atours de la reine, est morte, en huit jours de temps, le 11 du mois de septembre 1742, âgée de cinquante-cinq ans.»

[12]AN.T. 243.

[12]AN.T. 243.

[13]Il n’est pas inutile de rappeler, à cet égard, la lettre (inédite) qu’écrivait à ce même Quélen le comte de Plélo, le 30 janvier 1729, un mois avant son départ pour Copenhague:«Nous laissons nos enfants ici, mon fils encore quelques mois et ma fille quelques années; le premier viendra me joindre cet été. A l’égard de ma fille, elle restera au couvent jusqu’à six ou sept ans; et alors je la ferai venir auprès de moi, si Dieu me la conserve jusque-là.»Cette fille, c’était Louise-Félicité, qui avait alors trois ans. Conformément aux intentions du père, elle fut mise au couvent de la rue Bellechasse, la célèbre abbaye de Panthémont où sa mère avait fait son éducation. Louise-Félicité avait pour gouvernante Mᵐᵉ de Montigny, à qui Mᵐᵉ de Plélo avait légué 200 livres de rente viagère et qui resta près d’un an à l’abbaye de Panthémont avec son élève.

[13]Il n’est pas inutile de rappeler, à cet égard, la lettre (inédite) qu’écrivait à ce même Quélen le comte de Plélo, le 30 janvier 1729, un mois avant son départ pour Copenhague:

«Nous laissons nos enfants ici, mon fils encore quelques mois et ma fille quelques années; le premier viendra me joindre cet été. A l’égard de ma fille, elle restera au couvent jusqu’à six ou sept ans; et alors je la ferai venir auprès de moi, si Dieu me la conserve jusque-là.»

Cette fille, c’était Louise-Félicité, qui avait alors trois ans. Conformément aux intentions du père, elle fut mise au couvent de la rue Bellechasse, la célèbre abbaye de Panthémont où sa mère avait fait son éducation. Louise-Félicité avait pour gouvernante Mᵐᵉ de Montigny, à qui Mᵐᵉ de Plélo avait légué 200 livres de rente viagère et qui resta près d’un an à l’abbaye de Panthémont avec son élève.

[14]Mémoires du duc de Luynes, t. III, pp. 105-106.

[14]Mémoires du duc de Luynes, t. III, pp. 105-106.

[15]Quoique très bien fait, il était de petite taille: aussi, plus tard, à propos des affaires de Bretagne, ses adversaires le désignaient-ils ironiquement sous le nom dePetit duc.

[15]Quoique très bien fait, il était de petite taille: aussi, plus tard, à propos des affaires de Bretagne, ses adversaires le désignaient-ils ironiquement sous le nom dePetit duc.

[16]Edmond et Jules de Goncourt.La duchesse de Châteauroux et ses sœurs(Paris, 1879).

[16]Edmond et Jules de Goncourt.La duchesse de Châteauroux et ses sœurs(Paris, 1879).

[17]Revue hebdomadairedu 27 avril 1901. Le comte de Plélo était fort épris de sa femme; et sa correspondance dit assez quelles furent sa tendresse et sa fidélité.

[17]Revue hebdomadairedu 27 avril 1901. Le comte de Plélo était fort épris de sa femme; et sa correspondance dit assez quelles furent sa tendresse et sa fidélité.

[18]Mémoires du Mⁱˢ d’Argenson(t. IV, p. 44).—Mémoires de RichelieuparSoulavie, t. VI. A tort, les Goncourt appellent d’Agénois le neveu de Richelieu. C’était Mᵐᵉ de Châteauroux qui lui donnait ce nom et traitait de «cher oncle» le duc de Richelieu.

[18]Mémoires du Mⁱˢ d’Argenson(t. IV, p. 44).—Mémoires de RichelieuparSoulavie, t. VI. A tort, les Goncourt appellent d’Agénois le neveu de Richelieu. C’était Mᵐᵉ de Châteauroux qui lui donnait ce nom et traitait de «cher oncle» le duc de Richelieu.

[19]Les Goncourt.Mᵐᵉ de Châteauroux(Collection Leber, 5815, Lettres Mss. à la Bibl. de Rouen). Mᵐᵉ de Châteauroux avait une haine féroce contre Maurepas: elle écrivait, le 3 juin 1744, à Richelieu que Maurepas «avait fait le tourment de sa vie».

[19]Les Goncourt.Mᵐᵉ de Châteauroux(Collection Leber, 5815, Lettres Mss. à la Bibl. de Rouen). Mᵐᵉ de Châteauroux avait une haine féroce contre Maurepas: elle écrivait, le 3 juin 1744, à Richelieu que Maurepas «avait fait le tourment de sa vie».

[20]Soulavie.Anecdotes de la Cour de France, 1802, p. 24.

[20]Soulavie.Anecdotes de la Cour de France, 1802, p. 24.

[21]Mémoires du duc de Luynes, t. IV. p. 269.

[21]Mémoires du duc de Luynes, t. IV. p. 269.

[22]Maurepas.Mémoires, t. IV, p. 114-115. Ils sont de Soulavie (voir appendice nº 1).

[22]Maurepas.Mémoires, t. IV, p. 114-115. Ils sont de Soulavie (voir appendice nº 1).

[23]Duc de Luynes.Mémoires, t. IV, septembre 1742, p. 240. Mᵐᵉ de Mazarin était morte le 10.

[23]Duc de Luynes.Mémoires, t. IV, septembre 1742, p. 240. Mᵐᵉ de Mazarin était morte le 10.

[24]Duc de Luynes.Mémoires, t. V, octobre 1743, p. 22.

[24]Duc de Luynes.Mémoires, t. V, octobre 1743, p. 22.

[25]AN.T. 243.

[25]AN.T. 243.

[26]Archives du marquis de Chabrillan. Lettre de 1747.

[26]Archives du marquis de Chabrillan. Lettre de 1747.

[27]Archives du marquis de Chabrillan.

[27]Archives du marquis de Chabrillan.

[28]Mémoires du duc de Luynes, t. VII, mars 1746.

[28]Mémoires du duc de Luynes, t. VII, mars 1746.

[29]Déjà lesMémoiresde Luynes, annonçant, en avril 1736, la mort du dernier des fils de Plélo, parlaient d’une «fille de huit à dix ans qui n’avait pas une bonne santé»: c’était Louise-Félicité.

[29]Déjà lesMémoiresde Luynes, annonçant, en avril 1736, la mort du dernier des fils de Plélo, parlaient d’une «fille de huit à dix ans qui n’avait pas une bonne santé»: c’était Louise-Félicité.

[30]LesNouvelles à la mainpubliées, d’après les manuscrits Anisson Duperron, par M. le vicomte de Grouchy dans leCarnet historiquede 1898 (t. II, p. 683) donnent, à la date du 4 février 1764, une anecdote sur les couches de Mᵐᵉ d’Aiguillon, la représentant comme un véritable phénomène: «Elle est très bien de figure, elle a la peau assez blanche; dans sa première grossesse, elle devint, par degrés, noire comme une négresse du Sénégal de la tête aux pieds. Après être accouchée, elle reprit aussi par degrés son teint ordinaire. Elle est grosse pour la deuxième fois et la même révolution se fait chez elle. Elle n’est encore que mulâtresse parce qu’elle n’est pas avancée; dans ses derniers mois, elle sera noire comme du jais. Au reste, l’enfant qu’elle a mis au monde la première fois n’avait aucune teinte de noir; il était comme l’enfant d’un blanc...» Mᵐᵉ d’Aiguillon accoucha, en effet, en 1764, d’un enfant qui vint avant terme. Mais nous n’avons vu nulle part, excepté dans un autre recueil deNouvelles à la main, que Mᵐᵉ d’Aiguillon ait présenté, pendant ses couches, les variations de couleur dont parle le gazetier. Elle était sujette aux coliques néphrétiques: peut-être eut-elle, comme son mari, des jaunisses. Elle en parle, mais jamais du phénomène physiologique cité par lesNouvelles à la main. D’ailleurs, sa deuxième grossesse datait de 1747 et non de 1764.

[30]LesNouvelles à la mainpubliées, d’après les manuscrits Anisson Duperron, par M. le vicomte de Grouchy dans leCarnet historiquede 1898 (t. II, p. 683) donnent, à la date du 4 février 1764, une anecdote sur les couches de Mᵐᵉ d’Aiguillon, la représentant comme un véritable phénomène: «Elle est très bien de figure, elle a la peau assez blanche; dans sa première grossesse, elle devint, par degrés, noire comme une négresse du Sénégal de la tête aux pieds. Après être accouchée, elle reprit aussi par degrés son teint ordinaire. Elle est grosse pour la deuxième fois et la même révolution se fait chez elle. Elle n’est encore que mulâtresse parce qu’elle n’est pas avancée; dans ses derniers mois, elle sera noire comme du jais. Au reste, l’enfant qu’elle a mis au monde la première fois n’avait aucune teinte de noir; il était comme l’enfant d’un blanc...» Mᵐᵉ d’Aiguillon accoucha, en effet, en 1764, d’un enfant qui vint avant terme. Mais nous n’avons vu nulle part, excepté dans un autre recueil deNouvelles à la main, que Mᵐᵉ d’Aiguillon ait présenté, pendant ses couches, les variations de couleur dont parle le gazetier. Elle était sujette aux coliques néphrétiques: peut-être eut-elle, comme son mari, des jaunisses. Elle en parle, mais jamais du phénomène physiologique cité par lesNouvelles à la main. D’ailleurs, sa deuxième grossesse datait de 1747 et non de 1764.

[31]D’Aiguillon n’était encore qu’en très mince faveur à la Cour: le Roi se souvenait-il toujours des hésitations de la marquise de la Tournelle? En tout cas d’après leJournal de Croÿ(t. I, p. 150) d’Aiguillon n’était admis à Choisy qu’à titre «d’externe» ou de «polisson».

[31]D’Aiguillon n’était encore qu’en très mince faveur à la Cour: le Roi se souvenait-il toujours des hésitations de la marquise de la Tournelle? En tout cas d’après leJournal de Croÿ(t. I, p. 150) d’Aiguillon n’était admis à Choisy qu’à titre «d’externe» ou de «polisson».

[32]Cette guerre, si désastreuse pour la France, commença en 1756 et finit en 1763 par le traité de Paris qui nous enleva le Canada, «ces quelques arpents de neige», disait Voltaire.

[32]Cette guerre, si désastreuse pour la France, commença en 1756 et finit en 1763 par le traité de Paris qui nous enleva le Canada, «ces quelques arpents de neige», disait Voltaire.

[33]Village et baie dans le département des Côtes-du-Nord.

[33]Village et baie dans le département des Côtes-du-Nord.

[34]Première lettre d’une correspondance autographe adressée par Mᵐᵉ de Pompadour au duc d’Aiguillon et conservée auBritish Museum(fonds Egerton). Cette correspondance fut publiée pour la première fois en 1856-1857 (t. I, pp. 244 et suiv.), dans laCorrespondance littérairede Ludovic Lalanne et comprend une période de cinq années (1758-1762).

[34]Première lettre d’une correspondance autographe adressée par Mᵐᵉ de Pompadour au duc d’Aiguillon et conservée auBritish Museum(fonds Egerton). Cette correspondance fut publiée pour la première fois en 1856-1857 (t. I, pp. 244 et suiv.), dans laCorrespondance littérairede Ludovic Lalanne et comprend une période de cinq années (1758-1762).

[35]«M. d’Aiguillon, dit Linguet (Aiguillonana, 1777, p. 9) avait toujours eu un ascendant marqué sur les maîtresses du feu roi. La marquise de Pompadour l’avait protégé hautement: la trop prompte mort du maréchal de Belle-Isle l’avait seule empêché de le lui donner pour successeur (au ministère de la Guerre).»

[35]«M. d’Aiguillon, dit Linguet (Aiguillonana, 1777, p. 9) avait toujours eu un ascendant marqué sur les maîtresses du feu roi. La marquise de Pompadour l’avait protégé hautement: la trop prompte mort du maréchal de Belle-Isle l’avait seule empêché de le lui donner pour successeur (au ministère de la Guerre).»

[36]EdmondetJules de Goncourt.Mᵐᵉ de Pompadour(1878, Paris), p. 147, d’après lesSouvenirsde Mᵐᵉ du Hausset.

[36]EdmondetJules de Goncourt.Mᵐᵉ de Pompadour(1878, Paris), p. 147, d’après lesSouvenirsde Mᵐᵉ du Hausset.

[37]Lettre du 6 février 1759,Correspondancede Lalanne, t. I, p. 246.

[37]Lettre du 6 février 1759,Correspondancede Lalanne, t. I, p. 246.

[38]Journal de Croÿ(du duc) édité par le vicomte de Grouchy et Paul Cottin (1906, 4 vol.), juillet 1759, pp. 476 et suiv.—LeJournal de Barbier(t. VII, p. 210) parle d’un imprimé, répandu dans Paris en décembre 1759, qui énumère les préparatifs du débarquement.—Bertin avait remplacé Silhouette le 24 novembre 1759 (Barbier, VIII, 119).

[38]Journal de Croÿ(du duc) édité par le vicomte de Grouchy et Paul Cottin (1906, 4 vol.), juillet 1759, pp. 476 et suiv.—LeJournal de Barbier(t. VII, p. 210) parle d’un imprimé, répandu dans Paris en décembre 1759, qui énumère les préparatifs du débarquement.—Bertin avait remplacé Silhouette le 24 novembre 1759 (Barbier, VIII, 119).

[39]Lettre de 1760.—Quel livre à écrire sur les politiciennes!

[39]Lettre de 1760.—Quel livre à écrire sur les politiciennes!

[40]Lettre du 10 septembre 1760: il est vrai que, le 14, elle le complimentait d’avoir obtenu du «zèle des Bretons» un don gratuit de 700.000 livres pour le Roi.

[40]Lettre du 10 septembre 1760: il est vrai que, le 14, elle le complimentait d’avoir obtenu du «zèle des Bretons» un don gratuit de 700.000 livres pour le Roi.

[41]Lettre du 26 décembre.

[41]Lettre du 26 décembre.

[42]Lettre de Tourny à la duchesse d’Aiguillon, du 24 avril 1751 (d’aprèsMarcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, Paris, 1898).

[42]Lettre de Tourny à la duchesse d’Aiguillon, du 24 avril 1751 (d’aprèsMarcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, Paris, 1898).

[43]Lauzun.Documents inédits relatifs à l’entrée du duc d’Aiguillon à Agen, 1885.

[43]Lauzun.Documents inédits relatifs à l’entrée du duc d’Aiguillon à Agen, 1885.

[44]Lettre du 26 août 1761.

[44]Lettre du 26 août 1761.

[45]Déjà, le 7 décembre 1754, le duc de Luynes écrit dans sesMémoires: «On continue à donner à M. le duc d’Aiguillon toutes les louanges que méritent son esprit, sa politesse, son application aux affaires... Mᵐᵉ la duchesse d’Aiguillon a aussi très bien réussi en ce pays: il paraît que l’on est fort content de l’un et de l’autre.»

[45]Déjà, le 7 décembre 1754, le duc de Luynes écrit dans sesMémoires: «On continue à donner à M. le duc d’Aiguillon toutes les louanges que méritent son esprit, sa politesse, son application aux affaires... Mᵐᵉ la duchesse d’Aiguillon a aussi très bien réussi en ce pays: il paraît que l’on est fort content de l’un et de l’autre.»

[46]Journal de Croÿ, t. II, p. 12.

[46]Journal de Croÿ, t. II, p. 12.

[47]Carné.Etats de Bretagne, t. II.—Cet historien a dû à l’obligeance de M. le marquis de Chabrillan, possesseur des papiers du duc d’Aiguillon, de pouvoir consulter le «Journal du Commandement de Bretagne».

[47]Carné.Etats de Bretagne, t. II.—Cet historien a dû à l’obligeance de M. le marquis de Chabrillan, possesseur des papiers du duc d’Aiguillon, de pouvoir consulter le «Journal du Commandement de Bretagne».

[48]Journal de Croÿ, t. II, p. 48.—Ce même journal signale, également en 1763, le bruit qui s’était répandu que d’Aiguillon aurait le commandement de l’Alsace; et il l’eut nominalement.

[48]Journal de Croÿ, t. II, p. 48.—Ce même journal signale, également en 1763, le bruit qui s’était répandu que d’Aiguillon aurait le commandement de l’Alsace; et il l’eut nominalement.

[49]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon(Paris, 1898), p. 189.

[49]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon(Paris, 1898), p. 189.

[50]Jobez.Histoire de Louis XV, t. VI (Paris, 1864-1870, 6 vol.).

[50]Jobez.Histoire de Louis XV, t. VI (Paris, 1864-1870, 6 vol.).

[51]Jobez.Histoire de Louis XV, t. VI. Les hostilités s’ouvrirent le 1ᵉʳ octobre 1764, entre La Chalotais et d’Aiguillon, sur le refus de celui-ci d’accepter le fils comme successeur du père.

[51]Jobez.Histoire de Louis XV, t. VI. Les hostilités s’ouvrirent le 1ᵉʳ octobre 1764, entre La Chalotais et d’Aiguillon, sur le refus de celui-ci d’accepter le fils comme successeur du père.

[52]Mémoires secretsditsde Bachaumont, 15 octobre 1764.—M. Pocquet(Le Pouvoir absolu et l’esprit provincial. Le duc d’Aiguillon et La Chalotais, 3 vol., 1900-1902) affirme que La Chalotais ne fut pas l’auteur de l’épigramme.

[52]Mémoires secretsditsde Bachaumont, 15 octobre 1764.—M. Pocquet(Le Pouvoir absolu et l’esprit provincial. Le duc d’Aiguillon et La Chalotais, 3 vol., 1900-1902) affirme que La Chalotais ne fut pas l’auteur de l’épigramme.

[53]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 5.—M. Marcel Marion adopte la version de Soulavie.

[53]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 5.—M. Marcel Marion adopte la version de Soulavie.

[54]Soulavie affirme encore que la marquise devint la maîtresse de Choiseul.

[54]Soulavie affirme encore que la marquise devint la maîtresse de Choiseul.

[55]Bibl. Nat. Impr.Ln²⁷ 41577.H. Carré.La Chalotais et d’Aiguillon(Paris, 1893),d’après la Correspondance du chevalier de Fontette avec de la Noue: «un forcené républicain» dit Fontette de Kerguézec.

[55]Bibl. Nat. Impr.Ln²⁷ 41577.H. Carré.La Chalotais et d’Aiguillon(Paris, 1893),d’après la Correspondance du chevalier de Fontette avec de la Noue: «un forcené républicain» dit Fontette de Kerguézec.

[56]Soulavie.Mém. du min. du duc d’Aiguillon, pp. 176 et suiv.

[56]Soulavie.Mém. du min. du duc d’Aiguillon, pp. 176 et suiv.

[57]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, p. 348.

[57]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, p. 348.

[58]Marcel Marion.Id., p. 361. Lettre de M. de Robien à M. de Coniac (partisan d’Aiguillon), 3 décembre 1765.

[58]Marcel Marion.Id., p. 361. Lettre de M. de Robien à M. de Coniac (partisan d’Aiguillon), 3 décembre 1765.

[59]Mémoires du minist. du duc d’Aiguillon, p. 178.

[59]Mémoires du minist. du duc d’Aiguillon, p. 178.

[60]Journal de Croÿ, t. II, p. 192.

[60]Journal de Croÿ, t. II, p. 192.

[61]Arrivé de Lille en 1771, cet artiste avait été accueilli avec distinction par les châtelains de Veretz.

[61]Arrivé de Lille en 1771, cet artiste avait été accueilli avec distinction par les châtelains de Veretz.

[62]Un dessin de Gaignières nous a cependant conservé le croquis du château de Veretz en 1699.

[62]Un dessin de Gaignières nous a cependant conservé le croquis du château de Veretz en 1699.

[63]Bibl. Arsenal Mss. 10016 (Arch. Bastille). Rapport du policier Le Clerc au lieutenant général de police, 20 août (?) «Etant à Tours, je fus à Veretz, château situé sur le Cher. S. A. S. Mᵐᵉ la P(rincesse) de C(onti), deuxième douairière, y était. Par respect, je n’oserai dire ce que les habitants du pays disent de cette P(rincesse)» et du d(uc) d’Aiguillon.»

[63]Bibl. Arsenal Mss. 10016 (Arch. Bastille). Rapport du policier Le Clerc au lieutenant général de police, 20 août (?) «Etant à Tours, je fus à Veretz, château situé sur le Cher. S. A. S. Mᵐᵉ la P(rincesse) de C(onti), deuxième douairière, y était. Par respect, je n’oserai dire ce que les habitants du pays disent de cette P(rincesse)» et du d(uc) d’Aiguillon.»

[64]Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. X, pp. 247 et suiv. (1895-1896). Bibliothèque de Tours, Mss. 963.

[64]Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. X, pp. 247 et suiv. (1895-1896). Bibliothèque de Tours, Mss. 963.

[65]Nous signalons une très complèteHistoire du château de Veretz et de ses environs, par l’abbéBossebœuf(Tours, 1903, in-4º), histoire dont certains documents, inédits, appartiennent à l’époque révolutionnaire. Nous en donnons plus loin les intitulés.

[65]Nous signalons une très complèteHistoire du château de Veretz et de ses environs, par l’abbéBossebœuf(Tours, 1903, in-4º), histoire dont certains documents, inédits, appartiennent à l’époque révolutionnaire. Nous en donnons plus loin les intitulés.

[66]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 32.

[66]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 32.

[67]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, p. 417.

[67]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, p. 417.

[68]Moreau.Mes Souvenirs, t. II, pp. 54 et suiv.

[68]Moreau.Mes Souvenirs, t. II, pp. 54 et suiv.

[69]«Mais voilà de l’écriture de M. de La Chalotais!» s’était écrié Calonne, quand Saint-Florentin lui avait présenté les lettres anonymes (Mém. du ministère d’Aiguillon, pp. 5 et suiv.). Honnête prétexte! Le véritable motif des poursuites, c’était l’assistance que La Chalotais, agent du roi, prêtait aux revendications du Parlement de Bretagne.

[69]«Mais voilà de l’écriture de M. de La Chalotais!» s’était écrié Calonne, quand Saint-Florentin lui avait présenté les lettres anonymes (Mém. du ministère d’Aiguillon, pp. 5 et suiv.). Honnête prétexte! Le véritable motif des poursuites, c’était l’assistance que La Chalotais, agent du roi, prêtait aux revendications du Parlement de Bretagne.

[70]Sa première prison fut le château du Taureau près de Morlaix. Ce fut à Saint-Malo qu’il écrivit, les 15 janvier et 17 février 1766, ses deux premiersMémoires. Ceux de Brissot (Paris, 1830, t. I, p. 158) nous édifient sur la métaphore quelque peu prudhommesque de Voltaire: «L’histoire de ces pages écrites avec de la suie, au fond d’un cachot, sur des enveloppes de pain de sucre, m’avait toujours paru bien romanesque. Mᵐᵉ Lem (attachée au Parlement et qui avait beaucoup vécu chez M. de La Chalotais) m’a révélé que c’était elle qui avait fait passer à La Chalotais, dans le château du Taureau, ce fameuxMémoire, qu’il a prétendu avoir composé et écrit avec un cure-dents.»

[70]Sa première prison fut le château du Taureau près de Morlaix. Ce fut à Saint-Malo qu’il écrivit, les 15 janvier et 17 février 1766, ses deux premiersMémoires. Ceux de Brissot (Paris, 1830, t. I, p. 158) nous édifient sur la métaphore quelque peu prudhommesque de Voltaire: «L’histoire de ces pages écrites avec de la suie, au fond d’un cachot, sur des enveloppes de pain de sucre, m’avait toujours paru bien romanesque. Mᵐᵉ Lem (attachée au Parlement et qui avait beaucoup vécu chez M. de La Chalotais) m’a révélé que c’était elle qui avait fait passer à La Chalotais, dans le château du Taureau, ce fameuxMémoire, qu’il a prétendu avoir composé et écrit avec un cure-dents.»

[71]Mém. du minist. d’Aiguillon, p. 347.

[71]Mém. du minist. d’Aiguillon, p. 347.

[72]Lemoy.Le Parlement de Bretagne et le pouvoir royal au XVIIIᵉ siècle.Angers, 1909, p. 382.

[72]Lemoy.Le Parlement de Bretagne et le pouvoir royal au XVIIIᵉ siècle.Angers, 1909, p. 382.

[73]Mém. du minist. d’Aiguillon, p. 14.

[73]Mém. du minist. d’Aiguillon, p. 14.

[74]LeJournal de Hardy(Bibl. Nat. Mss. franç. 6680) en donne le 18 novembre une description terrifiante.

[74]LeJournal de Hardy(Bibl. Nat. Mss. franç. 6680) en donne le 18 novembre une description terrifiante.

[75]Lenoir, conseiller d’Etat, rapporteur de la Chambre de Saint-Malo.

[75]Lenoir, conseiller d’Etat, rapporteur de la Chambre de Saint-Malo.

[76]Mémoires du ministère d’Aiguillon, p. 16.

[76]Mémoires du ministère d’Aiguillon, p. 16.

[77]M. Carré établit, dans les premières pages de son livre, que La Chalotais, toujours irascible et toujours violent, était plutôt le persécuteur de Fontette, commandant du château de Saint-Malo.

[77]M. Carré établit, dans les premières pages de son livre, que La Chalotais, toujours irascible et toujours violent, était plutôt le persécuteur de Fontette, commandant du château de Saint-Malo.

[78]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 20.

[78]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 20.

[79]Vatel.Madame Du Barry(Paris, 1883, 3 vol.), t. I, p. 385.

[79]Vatel.Madame Du Barry(Paris, 1883, 3 vol.), t. I, p. 385.

[80]AN. H. 439. M. Carré dit, avec raison (pp. 57 et suiv.) et sans arrière-pensée de réhabilitation, qu’on s’est trop habitué à juger les affaires de Bretagne et la conduite de d’Aiguillon d’après les pamphlets contemporains, et que la vérité, comme la justification du prétendu coupable, apparaît mieux dans les papiers du Contrôle général et dans lesBulletins de Bretagneadressés à cet égard à Laverdy par le Commandant de Bretagne.

[80]AN. H. 439. M. Carré dit, avec raison (pp. 57 et suiv.) et sans arrière-pensée de réhabilitation, qu’on s’est trop habitué à juger les affaires de Bretagne et la conduite de d’Aiguillon d’après les pamphlets contemporains, et que la vérité, comme la justification du prétendu coupable, apparaît mieux dans les papiers du Contrôle général et dans lesBulletins de Bretagneadressés à cet égard à Laverdy par le Commandant de Bretagne.

[81]AN. O¹ 462.

[81]AN. O¹ 462.

[82]Journal du Prince de Croÿ, t. II, p. 454.

[82]Journal du Prince de Croÿ, t. II, p. 454.

[83]H. Carré.La Chalotais et d’Aiguillon, p. 65.

[83]H. Carré.La Chalotais et d’Aiguillon, p. 65.

[84]H. Carré.La Chalotais et d’Aiguillon.Lettre de La Noue (à Veretz), à Fontette, 25 septembre 1766.

[84]H. Carré.La Chalotais et d’Aiguillon.Lettre de La Noue (à Veretz), à Fontette, 25 septembre 1766.

[85]Belleval.Souvenirs d’un chevau-léger(Paris, 1866), p. 103.

[85]Belleval.Souvenirs d’un chevau-léger(Paris, 1866), p. 103.

[86]Carré.La Chalotais et d’Aiguillon. Lettre de La Noue à Fontette(Paris, 23 décembre et 23 février 1767).

[86]Carré.La Chalotais et d’Aiguillon. Lettre de La Noue à Fontette(Paris, 23 décembre et 23 février 1767).

[87]Dans sa thèse de doctorat,Le Parlement de Bretagne et le pouvoir royal au XVIIIᵉ siècle. M. Le Moy donne (pp. 64 et suiv.) un croquis intéressant de laSociété parlementaire, pendant le principat de d’Aiguillon, d’après les livres autorisés de MM. Carré, Pocquet, Marcel Marion, Baudry et les papiers d’archives du temps.

[87]Dans sa thèse de doctorat,Le Parlement de Bretagne et le pouvoir royal au XVIIIᵉ siècle. M. Le Moy donne (pp. 64 et suiv.) un croquis intéressant de laSociété parlementaire, pendant le principat de d’Aiguillon, d’après les livres autorisés de MM. Carré, Pocquet, Marcel Marion, Baudry et les papiers d’archives du temps.

[88]Revue de Bretagne et de Vendée, 1894. Article de Calan:Chute du duc d’Aiguillon.

[88]Revue de Bretagne et de Vendée, 1894. Article de Calan:Chute du duc d’Aiguillon.

[89]H. Carré.La Chalotais, etc. Lettres des 7 et 12 mars 1767, de Fontette à La Noue.

[89]H. Carré.La Chalotais, etc. Lettres des 7 et 12 mars 1767, de Fontette à La Noue.

[90]H. Carré.La Chalotais, etc., pp. 79 et suiv. Louis XV pratiquait le même système avec son ministre des Affaires étrangères. (Voir:Le duc de Broglie.Le secret du roi.)

[90]H. Carré.La Chalotais, etc., pp. 79 et suiv. Louis XV pratiquait le même système avec son ministre des Affaires étrangères. (Voir:Le duc de Broglie.Le secret du roi.)

[91]Archives d’Ille-et-Vilaine, C. 1780.

[91]Archives d’Ille-et-Vilaine, C. 1780.

[92]Archives nationales.Dossier Balleroy, T. 243.

[92]Archives nationales.Dossier Balleroy, T. 243.

[93]H. Carré.La Chalotais, etc... Lettre du 2 juin, de Fontette à La Noue.

[93]H. Carré.La Chalotais, etc... Lettre du 2 juin, de Fontette à La Noue.

[94]Archiv. Nation.Dossier Balleroy, T 243.

[94]Archiv. Nation.Dossier Balleroy, T 243.

[95]H. Carré.La Chalotais, etc., pp. 79-84.

[95]H. Carré.La Chalotais, etc., pp. 79-84.

[96]AN.T 243. Papiers Balleroy.

[96]AN.T 243. Papiers Balleroy.

[97]«Ce n’est qu’un petit brigand qui veut jouer au personnage» dit Fontette; jusqu’alors il avait été un des plus chauds partisans du gouverneur.

[97]«Ce n’est qu’un petit brigand qui veut jouer au personnage» dit Fontette; jusqu’alors il avait été un des plus chauds partisans du gouverneur.

[98]H. Carré.La Chalotais, etc., p. 84.

[98]H. Carré.La Chalotais, etc., p. 84.

[99]Revue de Bretagne et de Vendée, 1894. Article Calan sur la chute du duc d’Aiguillon.

[99]Revue de Bretagne et de Vendée, 1894. Article Calan sur la chute du duc d’Aiguillon.

[100]H. Carré.La Chalotais, etc., p. 524.

[100]H. Carré.La Chalotais, etc., p. 524.

[101]Revue de Bretagne, etc.Article Calan.

[101]Revue de Bretagne, etc.Article Calan.

[102]Mém. d’Aiguillon(du ministère).

[102]Mém. d’Aiguillon(du ministère).

[103]Correspondance Du Deffand(édit. Sainte-Aulaire), t. I, p. 162. Lettre de Mᵐᵉ Du Deffand à l’abbé Barthélemy.

[103]Correspondance Du Deffand(édit. Sainte-Aulaire), t. I, p. 162. Lettre de Mᵐᵉ Du Deffand à l’abbé Barthélemy.

[104]H. Carré.La Chalotais, etc., pp. 93 et suiv.

[104]H. Carré.La Chalotais, etc., pp. 93 et suiv.

[105]AN.T 243.

[105]AN.T 243.

[106]Bulletin du bibliophile.Année 1882, p. 119. Publication (p. 104, p. 125) par M. Edouard de Barthélemy d’un choix de lettres acquises dans la vente d’une correspondance adressée au chevalier de Balleroy: celle-ci avait dû échapper aux perquisitions révolutionnaires ou disparaître desArchives nationales.

[106]Bulletin du bibliophile.Année 1882, p. 119. Publication (p. 104, p. 125) par M. Edouard de Barthélemy d’un choix de lettres acquises dans la vente d’une correspondance adressée au chevalier de Balleroy: celle-ci avait dû échapper aux perquisitions révolutionnaires ou disparaître desArchives nationales.

[107]H. Carré.La Chalotais, etc.Lettre du 3 février 1768.

[107]H. Carré.La Chalotais, etc.Lettre du 3 février 1768.

[108]AN.T 243. Lettre du 24 juin.

[108]AN.T 243. Lettre du 24 juin.

[109]AN.T 243. Lettre du 10 juillet.—«La Reine, victime de M. le duc de Choiseul» (note Soulavie).

[109]AN.T 243. Lettre du 10 juillet.—«La Reine, victime de M. le duc de Choiseul» (note Soulavie).

[110]AN.T 243. Lettre du 16 août 1768.

[110]AN.T 243. Lettre du 16 août 1768.

[111]Le mot est rapporté par laCorrespondance de Grimm(Edit. M. Tourneux), t. VIII, p. 184.

[111]Le mot est rapporté par laCorrespondance de Grimm(Edit. M. Tourneux), t. VIII, p. 184.

[112]AN.T 243.

[112]AN.T 243.

[113]M. de Broc, lieutenant général, était un des vainqueurs de Saint-Cast.

[113]M. de Broc, lieutenant général, était un des vainqueurs de Saint-Cast.

[114]Un mémoire pour la tenue des Etats de 1766-1767 (Archives d’Ille-et-Vilaine, C. 1780) réglait ainsi la situation respective des ducs de Penthièvre et d’Aiguillon: Celui-ci était désigné «pair de France, chevalier des ordres du roi,Gouverneur d’Alsace, lieutenant général, commandant en chef de Bretagne. Il réside dans la province, en l’absence du duc de Penthièvre, le gouverneur. Placé à la tête de l’ordre militaire, il est le premier et principal commissaire du Roi aux Etats».

[114]Un mémoire pour la tenue des Etats de 1766-1767 (Archives d’Ille-et-Vilaine, C. 1780) réglait ainsi la situation respective des ducs de Penthièvre et d’Aiguillon: Celui-ci était désigné «pair de France, chevalier des ordres du roi,Gouverneur d’Alsace, lieutenant général, commandant en chef de Bretagne. Il réside dans la province, en l’absence du duc de Penthièvre, le gouverneur. Placé à la tête de l’ordre militaire, il est le premier et principal commissaire du Roi aux Etats».

[115]AN.T 243. Lettre du 27 août 1768.

[115]AN.T 243. Lettre du 27 août 1768.

[116]Mémoires secrets de Bachaumont, 26 septembre 1768. Lettre du 29 août. Nous n’avons trouvé nulle part de trace de cette demoiselle de Vedec.

[116]Mémoires secrets de Bachaumont, 26 septembre 1768. Lettre du 29 août. Nous n’avons trouvé nulle part de trace de cette demoiselle de Vedec.

[117]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, p. 574.

[117]Marcel Marion.La Bretagne et le duc d’Aiguillon, p. 574.

[118]LesRemarques(renvoi à la page 27 desMém. du minist. d’Aiguillon) disent que le duc n’avait pas plus pensé au ministère que le Dauphin n’y avait pensé pour lui.

[118]LesRemarques(renvoi à la page 27 desMém. du minist. d’Aiguillon) disent que le duc n’avait pas plus pensé au ministère que le Dauphin n’y avait pensé pour lui.

[119]Journal de Barbier, t. VI, p. 446.

[119]Journal de Barbier, t. VI, p. 446.

[120]De la Rocheterie.Marie-Antoinette(1905), t. I, p. 302.

[120]De la Rocheterie.Marie-Antoinette(1905), t. I, p. 302.

[121]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 35.

[121]Mémoires du ministère du duc d’Aiguillon, p. 35.

[122]Mémoires du ministère d’Aiguillon, p. 41.—Mémoires du duc de Choiseul(attribués à Soulavie), 1790, t. I, pp. 244 et suiv.

[122]Mémoires du ministère d’Aiguillon, p. 41.—Mémoires du duc de Choiseul(attribués à Soulavie), 1790, t. I, pp. 244 et suiv.

[123]Sénac de Meilhan.Le gouvernement, les mœurs, etc.Portraits des personnages les plus distingués du XVIIIᵉ siècle(édition Lescure), p. 338. «S’il voulait se rapprocher d’elle, elle ferait la moitié du chemin...»

[123]Sénac de Meilhan.Le gouvernement, les mœurs, etc.Portraits des personnages les plus distingués du XVIIIᵉ siècle(édition Lescure), p. 338. «S’il voulait se rapprocher d’elle, elle ferait la moitié du chemin...»

[124]Ce premier commis des finances, chassé en 1768 par Choiseul pour avoir poussé le contrôleur général Laverdy à entraver la marche du tout-puissant ministre, avait été remis en place par Terray en 1769. Cromot, par esprit de vengeance, laissait entrevoir au prince de Condé, qui, seul des princes du sang, soutenait le gouvernement contre les parlementaires, la possibilité de supplanter Choiseul.

[124]Ce premier commis des finances, chassé en 1768 par Choiseul pour avoir poussé le contrôleur général Laverdy à entraver la marche du tout-puissant ministre, avait été remis en place par Terray en 1769. Cromot, par esprit de vengeance, laissait entrevoir au prince de Condé, qui, seul des princes du sang, soutenait le gouvernement contre les parlementaires, la possibilité de supplanter Choiseul.

[125]Biblioth. Nat. Mss.Journal de Hardy, 6680, t. I, p. 143, 15 janvier 1769.—Belleval.Souvenirs, p. 118.

[125]Biblioth. Nat. Mss.Journal de Hardy, 6680, t. I, p. 143, 15 janvier 1769.—Belleval.Souvenirs, p. 118.

[126]Claude Saint-André.Madame Du Barry(Paris, 1909), p. 82.

[126]Claude Saint-André.Madame Du Barry(Paris, 1909), p. 82.

[127]Brissot.Mémoires, t. I, p. 268.

[127]Brissot.Mémoires, t. I, p. 268.


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